Diagnostic de territoire

Les étudiants de la licence APTER (Action locale et Projets de TERritoire) du département Géographie-Aménagement-Environnement de l’Université Jean-Jaurès de Toulouse, accompagnés de Philippe Gimenez, Daniel Weissberg, François Arcangeli, Corinne Ortet et Isabelle Ciofolo.

Affirmer l’identité de la communauté de communes et donner du sens à son action sont deux notions indissociables à la définition d’un projet de territoire.

Ce projet a pour objectif de définir des orientations à moyen terme (10 à 15 ans), de hiérarchiser les interventions de l’intercommunalité, de définir ses priorités, de faire des choix et de déterminer les moyens financiers et humains cohérents avec ces décisions.

Un projet global de développement

Ce projet se doit d’aborder tous les domaines qui font la vie d’un territoire : l’économie, les services à la population, l’agriculture, le tourisme, l’environnement, l’habitat, la culture, les loisirs…

C’est dans la perspective de la mise en œuvre de ce projet de territoire que la communauté de communes a conventionné avec l’Université Jean-Jaurès et qu’un diagnostic a été réalisé par les étudiants de la licence APTER (Action Locale et Projets de TERritoire) du département Géographie- Aménagement-Environnement. Ce travail a été élaboré dans le cadre de la réflexion engagée par la Commission Prospective.

Les données quantitatives recueillies entre octobre 2017 et janvier 2018 ont pu être affinées lors d’un séjour des étudiants sur notre territoire en février 2018, séjour au cours duquel de nombreux échanges et entretiens ont été conduits avec différents acteurs du territoire.

Ce travail, qui s’est achevé en juin 2018, a mis en évidence les points forts et les points faibles de notre territoire, ainsi que des propositions d’orientation d’actions pour la communauté de communes.

Points forts…

… et points faible

Prendre en compte les attentes de la population

Au plan économique

Vers des actions concrètes

Plus généralement, il s’agira d’assurer le maintien des services au public, d’anticiper le risque de désertification médicale et de prendre conscience de la valeur des ressources naturelles comme enjeu de développement.

Ces recommandations entrent en cohérence avec la stratégie de transition énergétique et écologique du Plan Climat, notamment pour tous les aspects liés à la mobilité et à l’habitat.

Fin 2019, le Projet de Territoire Cagire Garonne Salat devrait être écrit et les premières actions déjà engagées.